Mensuelle 23.05 | PARC NATIONAL DE FORÊTS

Territoires de communication !

Fin 2019, à cheval entre la Côte-d’Or et la Haute-Marne, est fondé le parc national de forêts. Dès lors, il faut relever un défi : créer la notoriété et l’image du onzième parc national français. Comment mobiliser les acteurs ? Comment développer et valoriser l’offre de services du territoire ? Que dire, comment le dire, et à qui ? Un challenge de communication que d’autres territoires ont aussi eu à affronter, avec leurs propres contraintes et enjeux, à l’instar des Climats du vignoble de Bourgogne, inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco en 2015, ou de la Saline royale d’Arc-et-Senans, inscrite par l’Unesco dès 1982.

Comment des territoires, parfois méconnus, parfois peu identifiés, parfois peu structurés pour l’accueil des visiteurs, peuvent-ils construire leur communication ? C’est la question qui nous réunira pour cette mensuelle exceptionnelle de Cerclecom, qui se déroulera au cœur du parc national de forêts.

Nos intervenants :

• • Philippe Puydarrieux, directeur du parc national de forêts

  • Sébastien Murcia, directeur communication du parc national de forêts

  • Nicolas Combes, directeur adjoint de la Saline royale d’Arc-et-Senans

  • Delphine Martinez, directrice de la communication des Climats du vignoble de Bourgogne

Le programme de notre soirée :

• • 18h. DÉPART du bus spécial Cerclecom, du parc des expositions à Dijon – apéro à bord

  • 19h15. VISITE PRIVÉE de l’abbaye d’Auberive, sous la conduite de son propriétaire, Jean-Claude Volot

  • 20h. ÉCHANGES ET DÉBAT : « Territoires de communication », dans la grande chapelle de l’abbaye d’Auberive

  • 21h15. COCKTAIL

  • 22h30. Départ du bus spécial Cerclecom

  • 23h45. Arrivée à Dijon, parc des expositions

Soirée réservée aux adhérents du Cerclecom. Inscription gratuite et obligatoire Le lieu de la mensuelle :

Abbaye cistercienne fondée en 1135, reconstruite aux 17^e et 18^e siècles, Auberive a abrité, après la Révolution, une filature, puis une fonderie, puis une prison (dans laquelle fut notamment enfermée Louise Michel), puis une colonie de vacances… avant d’être rachetée, en 2005, par la famille Volot, qui la transforme en centre d’art contemporain. C’est aujourd’hui un des hauts-lieux touristiques de la Haute-Marne et du parc national de forêts.